Ni dieux Ni monstres
L’auteur s’amuse en nous laissant des références de-ci, de-là : la librairie se nomme “Anarres”, un clin d’oeil au livre “Les dépossédés” d’Ursulla K Leguin, que l’auteur nous incite aussi à lire, ce que j’ai fait durant l’été… J’en ai conclu qu’il me restait tout un pan de culture à explorer. Ce livre est une bibliothèque de romans anarchistes, et de bons conseils.