UN VRAI CAUCHEMAR
Je sais que je n’ai aucune chance contre vos mots, votre métier est de tordre leur sens et de polémiquer ; vous avez été choisi pour votre éloquence, ce que je n’ai pas. Cela fait des années que vous brodez une vérité qui ne correspond pas — au moins- à la mienne ; ce n’est pas moi qui aurai le dernier mot en quelques secondes. Néanmoins, je vous l’affirme en face : « Vous n’êtes pas seulement le bouffon de Bolloré, vous êtes l’une de ses armes de destruction massive »